Статьи из парижского журнала "Военная Быль" (1952-1974). Издавался Обще-Кадетским Объединением под редакцией А.А. Геринга
Tuesday March 19th 2024

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Quelques notes sur les uniformes des hussards en général – T. Kulikovsky



Quelques notes sur les uniformes des hussards en général et sur celui du 12 regiment Akhtyrsky en particulier

Lamour de l’histoire est souvent étroitement lié à celui de l’uniforme ou à celui dune unité, oh combien particulière, celle dans laquelle on a servi, «son régiment». On trouve souvent dans l’uniforme militaire un nombre considérabrle de symboles retraçant l’histoire et les traditions dun régiment et cest ainsi que l’uniformologue voit souvrir devant lui un vaste champ détudes lui permettant de retrouver, à travers descriptions et illustrations des vêtements ou attributs portés par ce régiments, son histoire et les divers changements qui, à travers les siècles ont pu modifier lapparence extérieure de ses ancêtres.

Je ne vais point imposer au lecteur les petits détails dans le genre de lintroduction ou de la suppression des capuchons à shako, ou bien la disparition des numéros sur les boutons régimentaires, ou bien encore à quel moment les chiffres ont été remplacés par laigle impérial. Je vais me contenter de tracer limage de lévolution et des changements apportés à l’uniforme dun régiment, ce qui facilitera à lamateur d’uniformologie létude de nimporte quel autre régiment de hussards de l’armée impériale russe, étant donné que cette évolution et ces modifications se faisaient en même temps dans toutes les unités dune même arme.

Le 12ème hussard AKHTYRSKY portait le nom du régiment du Général Denis DAVIDOW modifié sous le dernier Empire en «Régiment de son Altesse Impériale la Grande Duchesse Olga Alexandrovna» et fut créé en 1651 en tant que régiment cosaque attaché à la forteresse dAKH- TYRKA et destiné à en surveiller les approches. A lépoque, ces cosaques portaient un costume national sans uniformité vestimentaire, mais nous possédons des informations qui nous disent que le haut de leur bonnet à poils (papakha) était de couleur jaune et que leur Kaftan était bleu. Il a été rapporté quà lépoque de Pierre le Grand ce Kaftan devint vert.

C’est  en 1765 que le régiment reçoit le nom de Hussard AKHTYRSKY. Nou savons tous que lhabit de hussard est dorigine hongroise et quil fut utilisé dans sa forme folkl’orique par tous les pays qui après navoir possédé que des unités de cavalerie lourde avaient soudain découvert tous les avantages que lon pouvait tirer des régiments «volants» hongrois. En ce qui concerne la RUSSIE qui avait toujours connu les cosaques et les tatars, la cavalerie légère nétait donc pas une innovation et la fondation des unités de hussards sous le règne de lImpératrice CATHERINE nétait quune transformation des unités de cavalerie légère déjà existantes en troupes régulières et disciplinées qui garderaient toutes les qualités nécessaires à une rapidité daction.

Le premier commandant chargé dinculquer à cette troupe les qualités nécessaires à une unité de hussards fut un officier des forces armées austro-hongroises aux qualités exceptionnelles le Comte PODHORICANY dorigine serbe ou monténégrine. Il sut créer des bases solides et insuffler le courage militaire qui devint le caractère même des hussards du régiment AKHTYRSKY.

Le premier uniforme de cette unité se composait dun Dolman et de culottes dun vert vif avec des parements et des revers noirs. La pelisse était noire bordée de fourrure blanche et parée de cordons verts. Le mirliton noir avait une flamme verte et un petit plumet blanc. La chabraque était noire bordée de vert. Les officiers avaient les brandebourgs et les parements dorés et portaient des demi-bottes de couleur rouge.

En 1776 les uniformes restent toujours verts avec une pelisse noire mais tous les parements et les revers deviennent jaunes ainsi que le mirliton.

C’est  en 1784 quintervient la réforme du Général Prince POTEMKINE dont lidée maîtresse était de rendre l’uniforme pratique et moins couteux, et ce fut la fin momentanée de la tenue de hussard.

Ce régiment changea de nom et devint les chevau-légers AKHTYRSKY. Il fut coiffé du casque de cuir noir avec une chenille transversale en fourrure blanche et une flamme noire retombant sur “la nuque. Les tresses, les queues poudrées disparaissaient et les soldats furent coiffés de la même façon que le peuple, cest à dire «sous-le- pot».

Luniforme devint un habit bleu avec un col et des revers rouges, des pattes dépaule et une fourragère blanches, la culotte fut remplacée par le pantalon dit «Charovari» de couleur rouge avec une bande de pantalon dentellée de couleur blanche, les demi-bottes sont larges et de couleur noire. Bien quen ayant perdu toute lapparence, les régiments de chevau-légers ukrainiens continuent, malgré tout à se faire appeler hussards.

Vers la fin du 18ème siècle, tant en EUROPE quaux ETATS-UNIS, l’uniforme «à la hussarde» devient la tenue militaire à la mode. En y apportant certaines variantes on en affuble des artilleurs, les dragons légers du Royaume de Grande Bretagne, les chasseurs à pied et à cheval et même les bataillons de skieurs norvégiens qui portaient des pelisses fourrées de lapin blanc se coiffèrent de colbacks de fourrure de la même couleur.

Ceci explique pourquoi l’Empereur PAUL 1er pensait dans sa réforme de l’armée a recréer des unités de hussards en RUSSIE. En 1796, le régiment prit le nom de régiment de hussards du Lieutenant général LINDENER et reçut un col- back à poils longs de chien noir avec une flamme marron foncé, un dolman marron avec un col et des revers jaune clair. La pelisse était marron, les brandebourgs et les parements jaunes. Le pantalon de cheval était blanc et la ceinture classique de hussard devint marron et jaune avec des glands de couleur blanche.

En 1806 le colback est remplacé par un shako cylindrique étroit avec visière amovible et à la fin de cette même année les tresses qui avaient été rétablies furent, une fois pour toutes, coupées.

Il faut dire à ce sujet que si POTEMKINE avait supprimé cette façon de se coiffer déjà en 1784, dans les autres pays les perruques, les tresses et les queues avaient été maintenues ce qui posait parfois un problème de toilette inutile aux gens de guerre.

Les troupes révolutionnaires françaises avaient simplement défait leur tresse mais maintenu les cheveux longs ce qui nétait ni pratique ni hygiénique.

L’Empereur PAUL 1er avait rétabli, pour une période heureusement courte, lutilisation des tresses par un certain désir de retour en arrière aux traditions pré-révolutionnaires.

Les anglais toujours conservateurs, ne coupèrent leurs tresses quen 1808, ce qui nempêcha pas les autorités militaires de donner un contre- ordre le lendemain pour empêcher lexécution capillaire, mais les troupes nattendaient que cette occasion et ce fut une hécatombe des cheveux longs aussi générale quenthousiaste.

Le commandant de l’armée dut saccommoder du fait accompli et seul le 22ème régiment dinfanterie le ROYAL WELCH FUSILIERS, guerroyant en ESPAGNE ou dans les colonies, reçut l’ordre et le contre-ordre en même temps et maintint les tresses plus longtemps que les autres unités de l’armée de Sa Majesté Britanique, En souvenir de ce fait, les officiers de ce régiment portent à ce jour attachés au col de leur veste d’uniforme, deux rubans de soie noire descendant de 15 à 20 cm dans le dos, en mémoire de ces mêmes rubans qui jadis protégeaient l’uniforme contre la crasse et la poudre des queues.

C’est  en 1807 que les Tchaktchiris (culottes de hussard) prirent la couleur bleue, par la même occasion les cannes portées par les sous-officiers et officiers furent supprimées.

En Janvier 1812, les hussards reçurent enfin le shako typique de l’armée russe, plus large en haut quà sa base avec un fond incurvé et qui portait le nom de «Kiever». Néanmoins, certains

régiments ne le portèrent quen 1813.

Pendant les guerres napoléoniennes les hussards AKHTYRSKY portaient le dolman et la pelisse marron, les parements et les brandebourgs jaunes, la carabine de cavalerie pendait sur une courroie blanche qui passait par lépaule gauche et la giberne rouge, sur un baudrier de la même couleur. Les culottes étaient bleues avec de re- troussis jaunes et se portaient rentrées dans les bottines de hussards.

En campagne le tenue diffère par les longues culottes de cheval grises avec des gros boutons tout le long de la bande du pantalon qui est retenu aux chaussures par un sous-pied. La chabraque était bleue avec une bordure dentellée jaune, la fourrure de la pelisse grise pour les officiers, noire pour les sous-officiers et blanche pour les hussards.

Durant la campagne de FRANCE en 1814, le régiment reçoit un insigne dhonneur métallique en forme de banderole ou de croissant inversé, qui se fixait sur le haut du kiever, pour le courage que le régiment avait montré l’ors de la bataille de Katzbach, elle portait linscription: «Pour faits accomplis le 14 Août 1813 «.

A la même époque, l’Empereur ALEXANDRE 1er accorde au régiment des hussards AKHTYRSKY le droit de porter à vie des dolmans de couleur marron.

Il est à remarquer que la couleur du dolman a bien souvent varié dans les autres régiments de hussards; ainsi le régiment KLIASTISKY le portait bleu foncé avec col et revers bleu clair en 1812, en 1826 il reçoit un dolman blanc et un kiever bleu tandis quen 1882, habillé dun nouvel uniforme de dragons vert foncé, il se voit octroyer des pattes dépaule et des cordons lilas, ce qui nempêcha pas de changer en 1907 cet uniforme pour un dolman bleu foncé à parements blancs et une flamme bleue claire au colback.

En même temps que le dolman marron le régiment AKHTYRSKY reçoit de longs pantalons de cheval de couleur grise à large bande jaune.

En 1819 la giberne devient noire sur baudrier blanc, la carabine est portée sur un baudrier de la même couleur passant par lépaule gauche.

En 1820 les officiers voient les franges de leurs dolmans et pelisses supprimées et remplacées par 5 rangs de boutons.

En 1826 le kiever devient plus haut que précédemment, cest à dire quil prend la forme des shakos de dragon mais garde la même couleur jaune que celle du col des dolmans.

Plus tard, le col et les parements redeviennent marron, cest à dire de la même couleur que le dolman. La fourrure des pelisses devient noire, tant pour les officiers que pour les hommes de troupe, 3 rangs de boutons sont cousus sur la poitrine, tandis que les culottes de cheval «Tchaktichiris» et les bottes sont remplacées par de longs pantalons gris-beu à passepoil jaune.

Dès 1835 létoffe des pantalons gris supprimés est utilisée pour confectionner des gants pour les hommes de troupe, tandis que les sous-officiers continuent à porter les gants blancs en peau de daim.

C’est à partir de 1835 que les pelisses commencèrent à être portées à la «Russe», cest à dire attachées aux deux épaules et tombant dans le dos au lieu d’être accrochées à lépaule gauche selon lancienne tradition hongroise.

En 1843 lon introduit les nouveaux kievers, plus bas que les précédents (20,9 cm) et lon remplace les pattes dépaule par des cordons à la hussarde. En 1844 pour la première fois les officiers reçurent des cocardes sur les casquettes. Jusquen 1845 les officiers de hussards portaient en petite tenue de ville le «vice-moundir» (redingote). A partir de cette date, la petite tenue comprend:

— une «Kourtka», veste courte ornée de 5 brandebourgs sur la poitrine et de longues «ven- guerka» nom donné au dolman à la hongroise qui, à lépoque, descendait jusquaux genoux.

La sabretache était recouverte dun étui noir quand lofficier mettait sa Kourtka; par contre, elle nétait pas portée avec la venguerka. Dans cette dernière tenue, le baudrier passé sous la venguerka devenait apparent à la hauteur de la taille, le sabre étant bien entendu à lextérieur.

Les dolmans continuaient à être portés par le régiment en tenue de sortie et de parade.

La campagne de Crimée fut l’origine de mesures économiques en tout ce qui avait trait aux uniformes militaires.

En 1855, les hommes de troupe et les sous- officiers reçoivent des tuniques dété, tandis que les pelisses sont supprimées. La même réforme touche les officiers en 1886 et seuls les généraux la gardent en tenue de parade.

En 1858 la sabretache est supprimée et en 1862 le kiever jaune, qui a d’ailleurs perdu sa forme originale et sest retroussé vers le haut depuis 1858, est remplacé par un petit képi jaune du type hongrois avec laigle impérial au-dessus de la visière et une petite queue de cheval retombant sur le devant.

En même temps, on ajoute à la tenue de campagne le «bachlik» sorte de capuchon en poil de chameau avec des côtés allongés se rabattant en croix sur la poitrine. Il faut remarquer que tous ces changements apportés à l’uniforme des hussards de ligne ne touchèrent pas les régiments de hussards de la garde impériale qui gardèrent leurs pelisses, sabretaches et colbacks à flamme multicol’ore.

En 1866, la venguerka reçoit le nom officiel de dolman, tandis quen 1869 on introduit les culottes de cheval carmin (KRAPOVIE TCHAK-

TCHIRIS) et les bottes à la hussarde, cest à dire avec la découpe en V dans le haut. Les pantalons longs étaient supprimés, mais les officiers pouvaient porter de larges culottes bouffantes «cha- rovari» gris-bleu, qui pouvaient être glissées par dessus les bottes.

C’est  en 1872 que fut institué un nouveau genre de kiever qui ressemblait plutôt à un képi haut de 12 cm, avec un extérieur en cuir laqué et le haut en laine jaune portant des broderies dorées qui variaient selon le rang de lofficier. La casquette à bandeau jaune et à la carre marron, souvent portée hors service, devient le couvre-chef habituel surtout pendant et après la guerre russo-turque de 1877-1878.

Pour cette dernière campagne les officiers reçoivent en récompense de leurs hauts faits, des brandebourgs dorés similaires à ceux des hussards de la garde.

Le règne de l’Empereur ALEXANDRE III voit une réforme visant à simplifier et russifier l’uniforme. Tous les régiments de cavalerie, la garde et les cosaques exceptés, furent transformés en régiments de dragons. Ces régiments portèrent une veste d’uniforme vert foncé et des culottes de cheval gris-bleu telles que l’Empereur PIERRE LE GRAND les avait instituées pour ses premières troupes régulières. Néanmoins, selon la volonté de l’Empereur ALEXANDRE 1er appelé «le béni», le régiment AKHTYRSKY maintient la couleur marron pour l’uniforme coupé à la nouvelle mode.

Les brandebourgs de la garde furent remplacés par des pattes de col aux couleurs de l’ordre de St GEORGES (orange et noir), le haut des couvre-chefs, les pattes dépaule et les ceintures restent toujours jaune et la casquette n’est soumise à aucun changement.

En 1885 la chabraque fut supprimée et rem- placeé par une celle faite en peau blanche glacée. L’Empereur NICOLAS II redonna aux régiments de cavalerie de son armée les anciennes dénominations et cest ainsi quen 1907 le régiment AKHTYRSKY redevient régiment de hussards. Tout comme les régiments de la garde, le couvre- chef devint un colback de dimensions légèrement plus petites, en astrakan noir avec un plumet blanc qui vient remplacer la queue de cheval.

Le flamme reste toujours jaune, pendant sur le côté droit du colback. Les trompettes avaient un plumet rouge et les généraux un plumet aux 3 couleurs des ROMANOW, noir à la base, jaune orangé au dessus et blanc dans sa partie supérieure.Le dolman reste marron, les culottes «Tchak- tichiris» carmin et les brandebourgs rouge chez les hommes de troupe et or pour les offioers, tout comme dans les régiments de la garde. Ces brandebourgs prennent une forme nouvelle, ils sont au nombre de 5, un peu plus larges quau-
paravant et se terminant sur les côtés par 3 boucles dites «en feuilles de trèfle», au lieu des 2 boucles portées précédemment et qui sont d’ailleurs maintenues dans la garde.

Les flammes de lance étaient bicol’ores, jaune au dessus et marron au dessous; la moitié du régiment était sur des chevaux isabelle et lautre sur des chevaux aubère.

Durant la 1ère guerre mondiale, les hussards reçoivent une tenue de campagne qui comprend une casquette gris-vert, une chemise kaki, des pantalons de cheval gris-bleu et une capote gris- marron. En hiver la casquette était remplacée par la papakha ou chapeau de fourrure grise en astrakan.

La guerre civile vit des officiers du régiment AKHTYRSKY combattre les troupes bolcheviques en casquette traditionnelle, cest-à-dire à bandeau jaune et à carre marron, ils aiment aussi porter les pantalons de cheval «Tchaktichi- ris» carmin.

En parlant des uniformes du régiment des hussards AKHTYRSKY, il nous faut conter une légende qui a même servie de base à un provocateur soviétique pour accuser les armées de l’Empereur davoir eu recours au vol et à la maraude dans les couvents et selon lequel les hussards AKHTYRSKY auraient untilisé des stocks de bure monacale pour confectionner leurs uniformes.

Cettes légende naquit durant la campagne dEurope de 1814 pendant laquelle les hussards AKHTYRSKY poursuivaient sans relâche les troupes françaises. Leurs uniformes étaient usés jusquà la corde et une fois arrivés à Paris et casernés dans un grand monastère catholique, le célèbre partisan et poète Denis DAVIDOW fit réquisitionner la bure destinée aux habits des moines pour habiller en marron son régiment. Lors dun défilé, l’Empereur ALEXANDRE 1er «le béni» ayant remarqué ce régiment dont la tenue lui paraissait étrangère demanda doù venaient ces uniformes flambant neuf et de couleur assez extraordinaire. Ayant reçu la réponse du colonel en chef, il donna l’ordre que le régiment AKHTYRSKY conserve la tenue marron durant toute son existence.

Il a été même dit que certains officiers du régiment faisaient venir de FRANCE la bure de l’ordre monastique qui, soi-disant, servait de base à la confection des dolmans.

Il reste, toutefois, possible que durant les guerres napoléoniennes, une telle chose se soit passée avec un régiment étranger, ce qui a donné naissance à une mode qui, jusquà la fin de la première guerre mondiale, existait dans certains pays et qui consistait à habiller un des régiments de hussards en tenue marron.

En RUSSIE, à lépoque de PAUL 1er cest le régiment LINDENER, plus tard appelé AKHTYRSKY, qui hérita de cette mode, les allemands, comme les français, avaient des régiments de Hussards en tenue marron, le régiment prussien de Silésie la porta jusquen 1914 et les hussards hongrois dESTERHAZY la portaient en FRANCE jusquen 1871 quand ils prirent le nom de 2ème régiment de Hussards.

Il reste vrai que le régiment AKHTYRSKY a gardé la couleur marron dans son uniforme depuis les campagnes napoléoniennes jusquà larrêt momentané de lexistence de cette unité.

Manquant dinformations complètes dans les conditions actuelles de notre vie demigrant, il ma été fort difficile de trouver tous les éléments nécessaires à la rédaction de cet article; je tiens par conséquent à remercier tous ceux qui mont aidé à ce faire et si jai péché par inadvertance, je serai très heureux de recevoir les critiques qui me permettront de corriger mon texte. Après tout, je ne suis quun chercheur toujours en quête dinformation et de vérité.

T. Kulikovsky


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